Le monde du livre et de la librairie étant ce qu’il est – disons : faiblement rentable – et notre petite équipe, qu’il faudrait pouvoir augmenter, accusant une certaine fatigue et même, pour certain (mais pas pour tous), une certaine lassitude, nous accepterions avec joie et plaisir l’arrivée d’un mécène – à condition qu’il n’intervienne qu’au chapitre « bilan comptable » de notre activité !

Bon, on n’y croit pas trop, mais comme on dit, « qui ne tente rien n’a rien ! »